« Margot Genet punktet als kecke Despina mit jugendlich frischem Sopran und humorvollem Spiel. »
Thomas Molke – Online Musik Magazin
June 8, 2024, Così fan tutte, Musiktheater im Revier
« Mit mühelos ansprechendem Sopran gibt Margot Genet die zunächst nichtsahnende und später zunehmend entsetzte Stela, die Braut von des Amokläufers mitwisserischem Bruder. »
Michael Kaminski – Concerti
September 29, 2024, Innocence, Musiktheater im Revier
« Die aus dem NRW-Opernstudio übernommene junge Französin Margot Genet erhielt den mit je 3000 Euro dotierten Preis als schwer karriereverdächtiger, schattierungsfähiger lyrischer Sopran vor allem für ihre kecke Strippenzieherin Despina in Mozarts « Così fan tutte ».
Bernd Aulich – Recklinghäuser Zeitung
September 1, 2024, Erröfnungskonzert, Musiktheater im Revier
« […] auf denen der Zigeunerinnen (statt kartenlegend tindermäßig über Handybildschirm wischend) zusammen harmonierend mit Mercedes (Séraphine Cotrez) und Frasquita (Margot Genet) auch exzellent farbige Stimmen dieser neuen, alten Carmen«
Jens Klier – Bachtrack
March 18, 2024, Carmen, Konzerthaus Dortmund
« Le versant tragi-comique de l’œuvre est confié aux deux amies de Carmen, Frasquita et Mercédès qu’interprètent la soprano Margot Genet d’une voix précise aux aigus en filigrane et la mezzo-soprano Séraphine Cortez de sa voix très proche de la déclamation. «
Frederique Epin – Olyrix
March 14, 2024, Carmen, Philharmonie de Paris
« Margot Genet als Frasquita und Séraphine Cotrez als Mercédès boten zwei weitere hinreißende Stützen eines insgesamt erstklassigen Gesangsensembles, wie es unter der Leitung eines René Jacobs aber auch nicht anders zu erwarten war. »
Dr. Aron Sayed – Klassik.com
March 25, 2024, Carmen, Elbphilharmonie
« El reparto fue otro elemento destacado con un esmerado manej de la prosodia francesa y mejores solistas femeninas. […] Incluso, la soprano Margot Genet y la mezzo Séraphine Cotrez fueron también ideales, respectivamente, como Frasquita y Mercédès. »
Pablo L. Rodriguez – El País
March 27, 2024, Carmen, Teatro Real
« Züge eines Melodrams mit Margot Genets faszinierend ausdrucks reichem, aufs Feinste schattierungsfähigem lyrischen Sopran zeigte eine Suite aus Kaija Saarihahos zweiter Oper „Emilie », um eine Frau in Bedrängnis – die französische Mathematikerin, Philosophin und Ärztin als Verfechterin der frühen Aufklärung. […]
Und was für Stimmen: neben der famosen Französin Margot Genet, die erst mit dieser Saison als Glücksgriff aus dem NRW-Opernstudio in Gelsenkirchener Ensemble wechselte, ein fabelhafter Bariton mit idealem französischem Timbre. »
Bernd Aulich – Recklinghäuser Zeitung
January 29, 2024, Klang des Lichtes (Gala Kaija Saariaho), Musiktheater im Revier
« Unter den Damen ragt Margot Genets Annina heraus, ein köstlicher Silbersopran, kraftstrotzend, nie kraftmeiernd. »
Lars von der Gönna – WAZ
November 26, 2024, Eine Nacht in Venedig, Musiktheater im Revier
« Les deux sœurs, interprétées par Margot Genet et Stéphanie Cotrez, séduisent pleinement, notamment dans les airs en duo. »
Agnès Simon – Resmusica
June 24, 2023, Zémire et Azor, Opéra Comique
« Côté vocal, c’est un vrai sans faute : […] Margot Genet (Lisbé) et Séraphine Cotrez (Fatmé) sont les deux sœurs – pestes comme il le faut – de la tendre héroïne. »
Alain Cochard – Concertclassique.com
June 25, 2023, Zémire et Azor, Opéra Comique
« Margot Genet en Lisbé expose quant à elle une voix acidulée au vibrato vif. »
Damien Dutilleul – Olyrix
June 24, 2023, Zémire et Azor, Opéra Comique
« Séraphine Cotrez et Margot Genet sont deux sœurs bien différenciées qui savent donner vie au peu qu’elles ont à chanter. »
Guillaume Saintagne – Forum Opéra
June 24, 2023, Zémire et Azor, Opéra Comique
« Magdalena (Bele Kumberger) und Amelia (aus dem Opernstudio: Margot Genet) und die Magd Violeta (Anke Sieloff) erfüllen ihre etwas kleineren Partien ebenfalls mit hoher Ausdruckskraft. »
Anke Demirsoy – Westdeutsche Allgemeine Zeitung
May 2, 2023, Bernarda Albas Haus, Musiktheater im Revier
« Das Ensemble zieht fantastisch mit: […] Auch die Töchterschar ist mit Lina Hoffmann (Angustias, die älteste Tochter), Bele Kumberger (Magdalena), Margot Genet (Amelia), Soyoon Lee (Martirio, die Chef-Intrigantin) und Katherine Allen (Adela, die eigentliche Geliebte Pepes, die sich zuletzt umbringt) famos besetzt. ».
Regine Müller – Die deutsche Bühne
May 2, 2023, Bernarda Albas Haus, Musiktheater im Revier
« Manja, die Seherin, ausdrucksvoll gesungen von der französischen Sopranistin Margot Genet, rundete das Ensemble ab »
Detlef Obens – Opernmagazin
December 5, 2023, Gräfin Mariza, Theater Dortmund
« Zu solchem Vergnügen tragen gerade zwei junge Sängerinnen in kleinen Rollen animierend bei. Das NRW-Opernstudio zeigt sich einmal mehr als Bank für glänzende Talente, wo Margot Genets Seherin Manja mit samtiger Sinnlichkeit künftiges Schicksal besingt. «
Lars von der Gönna – WAZ
December 5, 2023, Gräfin Mariza, Theater Dortmund
Sopranistin Margot Genet beeindruckt im Gelsenkirchener Musiktheater als Entdeckung.
« Margot Genet glänzte als Eurydice (in Offenbachs Orpheus in der Unterwelt), die junge Sopranistin aus dem Programm Opernstudio NRW ist eine herausragende Entdeckung: Perfekte Koloraturen mit einer ungewöhnlichen Weichheit und Grazie in den höchsten Lagen. »
Barbara Seppi – Westdeutsche Allgemeine Zeitung
November 3, 2021, Orphée aux Enfers, Musiktheater im Revier Gelsenkirchen
« Nachwuchssängerinnen des Jahres:
Sopranistin Margot Genet, die als Opernstudio-Mitglied ein glänzendes Debüt als Norina in „Don Pasquale“ gibt. Auch in Dortmund fällt sie als Papagena und Seherin Manja in „Gräfin Mariza“ positiv auf. Zum Saisonende stemmt sie dann noch die Amelia in „Bernarda Albas Haus“ parallel zu Auftritten an der Pariser Opéra Comique in Grétrys „Zémire et Azor“. »
Rudolf Hermes – Der Opernfreund
April 1, 2023, Don Pasquale, Musiktheater im Revier Gelsenkirchen
« Le trio Margot Genet, Amandine Ammirati et Clémence Poussin (toutes trois venant du studio de l’Opéra de Lyon) s’amuse à interpréter les trois « actrices » accompagnant Guillot de Morfontaine. Leurs voix interviennent dans une grande homogénéité teintant le drame de légèreté souriante. »
Frédérique Epin – Olyrix
September 15, 2021, Manon, Théâtre des Champs-Elysées
« Les seconds rôles, tous remarquablement tenus, n’appellent que des louanges : Margot Genet, Amandine Ammirati et Clémence Poussin, toutes trois membres du Studio de l’Opéra de Lyon, campent avec un zeste d’ironie et de malice, les trois maîtresses de Guillot de Morfontaine dont elles commentent avec humour les infortunes dans ses tentatives de conquérir Manon. »
Jean Michel Pennetier – Forum Opera
September 15, 2021, Manon, Théâtre des Champs-Elysées
« Loin d’être un élément négligeable du casting, les cinq filles d’Orlamonde forment des seconds rôles de luxe, à commencer par le beau mezzo rond et svelte d’Adèle Charvet en Sélysette (c’est elle qui a le rôle le plus étoffé), les trois sopranos lui emboîtent le pas avec bonheur : la fière Mélisande d’Hélène Carpentier, l’Ygraine sensuelle de Margot Genet, la tendre Bellangère d’Amandine Ammirati. »
Marie-Aude Roux – Le Monde
March 24, 2021, Ariane et Barbe-Bleue, Opéra de Lyon
« Les épouses elles-mêmes feraient mentir Dukas, qui voyait en elles de « piètres marionnettes » : elles existent, et comment ! On pense en particulier à Adèle Charvet, qui prête la séduisante fraîcheur de son mezzo à la tendre Selysette, mais il faut citer les sopranes, bien chantantes et caractérisées — la Mélisande d’Hélène Carpentier, l’Ygraine de Margot Genet, la Bellangère d’Amandine Ammirati. »
Benoît Fauchet – Diapason
March 24, 2021, Ariane et Barbe-Bleue, Opéra de Lyon
« […] tandis que Bellangère, Ygraine et Mélisande trouvent respectivement en Amandine Ammirati, Margot Genet et Hélène Carpentier, des interprètes remarquables d’impact et d’une projection limpide et impeccable. »
David Verdier – Wanderer
March 24, 2021, Ariane et Barbe-Bleue, Opéra de Lyon
« Margot Genet, en Giovanna, complète avec talent le plateau vocal avec une belle voix cristalline. »
Brigitte Maroilla – forumopera.com
November 8, 2019, Ernani, Théâtre des Champs-Élysées
« La Giovanna de Margot Genet a de la présence, des aigus argentins. »
Claire de Oliveira – Olyrix
November 8, 2019, Ernani, Théâtre des Champs-Élysées
« On retiendra aussi la prestation de Margot Genet, au soprano bien maîtrisé dans le personnage de la Princesse, et aux vocalises précises et aisées dans le Rossignol. »
Emmanuel Andrieu – ConcertoNet.com
November 14, 2019, L’Enfant et les Sortilèges, Opéra de Lyon
« With flames flickering to colourful effect, the French coloratura soprano, Margot Genet performed the wordless obligato with superb control in her impossibly high tessitura. […] Ms Genet performed a poignantly tender duet with flute obligato, interrupted finally by clarinet arpeggios as she sang how she had hoped he might grow up to be her Prince. »
Georgina Benison – Oman Observer
October 27, 2019, L’Enfant et les Sortilèges, Royal Opera House Muscat
« »Bientôt à ce prix tes tourments vont finir » chante-t-elle, incarnant L’Amour (dans Orphée et Eurydice de Gluck), un air qu’interprète également -par le jeu du choix dans les morceaux imposés- Margot Genet. Cette soprano (qui vient de rejoindre le Studio de l’Opéra de Lyon) ouvre sa prestation avec « Quel prix de mon amour » (Médée de Charpentier) comme le fera la finaliste suivante. […] Les écarts de note entraînent des écarts de justesse qui ont vocation à se transformer en frottements mélodiques maîtrisés pour servir l’expression. Ce contrôle dépend d’une matière vocale qui est déjà là dans la projection : la soprano prend la pleine mesure de l’acoustique, ses piani résonant aussi longtemps que ses inspirations expressives. Enfin, les puissants sommets de bravoures savent enchaîner sur un aigu velouté finement soulevé et voisé mais ferme, suivi mezza voce aussi intensément. L’entre-deux vocal est aussi au service d’une double incarnation : la folie meurtrière endolorie de Médée, l’ombre sombre d’Alcina. »
Charles Arden – Olyrix
September 27, 2019, Concours Corneille – Normandy International Baroque Music Competition Final
« Oder Margot Genet, die Reimanns « Cinq fragments français de Rainer Maria Rilke » singt. Ein beweis, worum es bei Reimann geht: die Stimme, nichts als die Stimme, mit Allem, was sie, an Menschlichem enthält, in riesenhaften Vokalisen und dichten Phrasen, die Sänger Herausfordernd bis an die Grenzen. Grandios! »
Frankfurter Allgemeine Zeitung
June 20, 2016, Recital Würzburg Mozartfest, Würzburg Mozartfest